Sébastien Lecornu, démissionnnaire le lendemain de sa nomination comme premier ministre
Cette fois-ci, la crise potentiellement mortelle de la Ve République s'ouvre de nouveau en grand - et pourrait déboucher sur une vraie crise révolutionnaire si "la gauche" ne restait pas contrôlée par les appareils syndicaux et politiques.
Mon billet du 9 septembre reste pleinement d'actualité.